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L'histoire de la musique de ses origines à aujourd'hui


Dans cet article, je vais revenir sur ce qui caractérise la musique, la dernière des quatre sciences du Quadrivium que je n'ai pas encore abordée, et comment elle s'intègre dans les autres sciences pour définir notre réalité

person playing piano
Gros plan sur le toucher au piano

1) Les Muses


Il faut remonter à l'époque de la Grèce Antique pour retrouver l'étymologie du mot "musique" et, en corollaire, de sa première mention littéraire. En effet, c'est dans la Théogonie d'Hésiode, poème écrit au VIIIème siècle av. J-C, qu'il est pour la première fois fait mention de neuf Muses, qui seraient les allégories de neuf arts, et sciences, très loués à cette époque, à savoir: la poésie lyrique, la danse, la tragédie, l'histoire, la musique, la rhétorique, la comédie, la poésie épique et l'astronomie. Dans le texte, Hésiode explique que les Muses sont nées d'une série de neuf relations sexuelles entre Zeus et Mnémosys (déesse de la mémoire) [Encyclopedia Universalis]. On peut d'ores et déjà constater que les anciens grecs ne considérait pas la musique uniquement sous ses paramètres musicaux: hauteur du son (fréquences), intensité, rythme, durée et timbre. Ils l'envisageait en relation avec les mouvements du corps (la danse), la voix parlée (théâtre ou poésie), le mouvement des astres (astronomie) et à un contexte historique (histoire). Le mot "musique" peut ainsi se déomposer en "mus-ique" et se traduire comme "se rapportant aux Muses". 


           Urania, Muse de l'astronomie                    et de l'astrologie

2) L'harmonie des sphères


Deux siècles plus tard, au VIème siècle av. J-C, le célèbre polymathe Pythagore, inventa les bases du solfège en élaborant des gammes musicales à sept notes qui sont celles dont on se sert toujours actuellement. Il associa des sons simultanés en intervalles de fréquences réguliers: l'unisson (1:1), qui correspond à deux notes jouées à la même hauteur; l'octave (2:1), qui fait aussi jouer les mêmes notes mais à une fréquence doublée; la quinte (3:2), qui correspond à deux sons séparés de trois tons et demi dans la gamme musicale; ou encore, la quarte (4:3), qui correspond à deux sons joués en même temps sur un intervalle de deux tons et demi. Il existe aussi les intervalles de seconde (un ton entier), tierce (deux tons entiers), sixte (quatre tons et demi) et septième (cinq tons et demi). Ces derniers se déclinent en intervalles mineurs et majeures. Pythagore obtint ces rapports numériques à l'aide d'un monocorde, une longue caisse rectangulaire sur laquelle est tenue une corde d'un mètre dont les subdivisions de longueur sont indiquées (mm, cm, deca etc...). De cette façon, il put tester plusieurs sonorités en pinçant la corde à divers endroits, afin d'obtenir des sons plus graves ou plus aiguës. Il remarqua ainsi qu'on pouvait engendrer des sons harmonieux en scindant sa longueur de corde initiale en intervalles de nombres entiers (par rapport aux mesures effectuées). La division de la gamme musicale en sept notes ne fut pas arbitraire puisqu'elle correspondait aux sept planètes les plus proches de notre système solaire que les anciens pouvaient observer de leurs propres yeux. Le polymathe grec affirmait que chaque planète émettait un son spécifique lorsqu'elle se déplaçait et que l'ensemble d'entre elles réalisaient une harmonie. Il avait même inventé un système dans lequel les sept planètes étaient intégrées dans une gamme musicale avec comme modèle un intervalle d'un ton entre la Terre et la Lune, équivalent à la distance qui les séparent (Pline L'Ancien, Histoire Naturelle). Cette hypothèse fut soutenue et revisité par plusieurs astronomes et mathématiciens grecs. Elle traversa le Moyen-Age de façon plutôt discrète, avant de réapparâitre à la Renaissance par le biais de Franchino Gaffurio (Theorica Musicae, 1492) puis, par la suite, de Johannes Kepler (Harmonices Mundi, 1619). 


En Grèce Antique, quatre modes musicaux furent créés par Aristote à partir de la gamme musicale de Pythagore. Ils portaient à l'époque les noms de mode dorien (ré), mode phrygien (mi), mode lydien (fa) et mode mixolydien (sol). Ces noms de modes correspondaient à des régions grecques. Il était alors reconnu qu'en fonction du mode choisi, on pouvait déclencher des états émotionnels très variés. Ce qui est très peu connu, au point que je l'ai découvert en faisant mes recherches, est que chaque mode fut associé à une planète. C'est comme si on faisait en sorte de doter chaque planète d'une personnalité à part entière. Le mode dorien est ainsi nommé mode solaire, le mode phrygien prit le nom de mode marsien, le mode lydien (ou mode de fa) celui de mode jovien (relatif à Jupiter), le mode mixolydien celui de mode saturnien. Par la suite, les modes ionien (do), éolien (la) et locrien (si) furent inventés, et on les associa respectivement à la planète Mercure (ionien), à la lune (éolien) et à l'ancêtre du locrien, nommé hypolydien, la planète Vénus. Chacun des états émotionnels engendrés étaient relatifs à la planète en question. Le mode ionien est gai et joyeux (solaire), le mode dorien calme et appaisant, le mode phrygien violent et agressif, le mode lydien assez triste, le mode mixolydien un côté sombre et tragique (saturnien), le mode hypolydien un caractère hédoniste et orgiaque (vénusien). Cela me permet ainsi de comprendre que la partie de l'astrologie qui s'occupe à définir l'énergie des planètes peut être obtenu à travers leurs modes musicaux. Ce sont alors ces harmonies modales, provoquées par un double facteur de distance par rapport à la Terre et de vitesse de déplacement, couplé à leur influence des constellations zodiacales, qui transportent l'énergie définissant la personnalité d'un nouveau né au moment de sa naissance (carte natale). L'assemblage entre l'astronomie, l'astrologie et la musique est donc parfait. C'est une nouvelle méthode holistique pour comprendre l'impact de la musique, en relation avec les astres, sur l'individu. 




Pour en revenir maintenant au livre de Fabien Maman, "le Tao du Son", l'auteur montre à travers plusieurs images annotées l'effet visuel déclenché par l'émission d'un son acoustique en fonction de la fréquence (hauteur du son) ou de l'instrument choisi (timbre). Je dois bien admettre, avec le livre sous les yeux, que les résultats qu'il a obtenu sont vraiment stupéfiants (en raison des droits d'auteur je ne peux pas partager les photos). Il affiche dans son livre une série de photos qui montre la forme et la couleur que prend le champ aurique de chaque cellule après avoir joué des notes au xylophone, à la guitare sèche et chanté avec sa voix. Les réultats les plus impressionnants ont été engendré par les cordes vocales de la voix humaine en raison des nombreuses harmoniques qu'elles contiennent. A la page 110  de son livre, il note les conclusions suivantes par rapport à ses expériences sous microscope: "les cellules saines, photographiées selon le procédé Kirlian, présentent une caractéristique commune: exposé aux sons acoustiques, leur champ électromagnétique se renforce, devient plus vigoureux, réactif, 'vibrant', il se revitalise [...] Elles reçoivent, absorbent, intègrent facilement les harmoniques musicaux, pour ensuite les faire rayonner dans leur proche champ d'énergie, où nous pouvons l'observer." Il compare aussi le résultat observé à "un mandala de couleurs magenta et turquoise, très lumineuses". Ces citations vous permettent de bien saisir le changement qui s'opère au sein des cellules lorsqu'elles se trouvent exposée à un son pur. Dans le même temps, il a donc réalisé une série d'expériences sur des cellules cancéreuses pour voir s'il était possible de trouver un moyen de les dissoudre au moyen de la musique. Voici les principales conclusions auxquelles il est arrivé après une expertise minutieuse: "Sur elles, les fréquences acoustiques agissent d'une manière tout autre que sur les cellules saines: si elles énergétisent ces dernières, elles perturbent et désintègrent les cellules malades, dont la structure s'effondre [...] Le résultat le plus spectaculaire s'est produit quand j'ai joué au xylophone, l'une après l'autre, les douze notes d'une gamme chromatique tempérée. Vers la fin, au niveau de l'intervalle de septième, les cellules cancéreuses ont explosé. C'est surtout la dissonance progressive des sons acoustiques qui destructuralise la cellule jusqu'à la faire éclater. Imaginez maintenant que cette science soit diffusée partout et qu'elle soit appliquée au milieu médical pour traiter des cancers que l'on pense incurable. La déduction va de soi: un plus grand nombre de personne guérit ce qui entraîne logiquement la disparition de la médecine traditionnelle. Ce livre approfondit ensuite les relations entre les organes, les glandes et les fréquences musicales, des aspects tout aussi intéressant, mais je vais m'en arrêter là afin d'éviter de vous proposer un article trop long. En y repensant, ce livre a grandement contribué à façonner ma vision de ce que je voulais apporter à l'humanité: contribuer à un monde meilleur par la propagation de connaissances holistiques, ce qui mena à terme la création du site internet. Ce terme est d'ailleurs souvent employé par l'auteur pour faire référence à l'application psycho-somatique (cerveau et corps) de ses techniques de guérison vibratoire.

Association des Muses à des planètes et des modes musicaux

Photo Kirlian d'une protéine de grenade (le fruit)

Disposition et circulation des nadis dans le corps

Photo Kirlian d'une paume de main

Photo Kirlian d'une feuille

Un chercheur indépendant du nom de Joël Sternheimer, ami de Fabien Maman, s'appuya sur ce travail pour réaliser le même type d'action sur les protéines végétales. Il nomma le résultat "protéodie", une contraction de "mélodie des protéines". Sa méthode fut renommée plus tard la "génodique", une fusion des termes "génétique" et "mélodique". L'explication scientifique des effets provoqués est que "certaines fréquences sonores transcrites en mélodies seraient capables d'influer sur l'expression des gènes" [gerbeaud.com]. Ses vertus sont actuellement exploitées en agriculture et en élevage dans toute la France. Aucun chercheur traditionnel ou académique n'est parvenu à réfuter les effets curatifs et régénérateurs de la génodique. Cela démontre donc que cette science émergente est complètement fiable et peut être appliquée sans risque par tout le monde. Pour en savoir plus à ce sujet, je vous renvoie vers ce site internet https://www.genodics.com/


3) Musique et biologie


Il y a deux ans de cela, lors d'une période où j'étais en phase d'éveil spirituel, je me suis procuré un livre nommé "le Tao du Son", écrit par Fabien Maman, abordant la relation entre la biologie et la musique. Ce livre laissa une trace importante dans ma mémoire puisqu'il me permit de comprendre scientifiquement comment la musique pouvait agir sur le corps pour guérir. Il associa ce qu'il appelle une "note fondamentale" à chaque organe du corps en s'appuyant sur ses connaissances de praticien en acupuncture qui traite de points énergétiques du corps qu'on appelle des "méridiens" en médecine chinoise et des "nadis" en ayurvéda indien. Ces notes fondamentales étaient au nombre de douze, en rapport avec les douze demi-tons qui composent un octave en musique. Il développa à travers cela un système de guérison vibratoire consistant en une série de douze diapasons de taille différente, accordés aux douze notes de l'octave, en s'appuyant sur le travail de Pythagore dont on a parlé dans la partie précédente. Dans le même temps, il réussit à obtenir une autorisation pour travailler dans un laboratoire en région parisienne afin de mener des expériences sur le son au contact de cellules saines et cancéreuses. Il s'équipa notamment d'un appareil photo spécial, nommé "Kirlian", du nom de ses découvreurs soviétiques, pour observer le champ d'énergie des cellules obtenu par interférence électromagnétique. Les résultats qu'il finit par observer sont absolument exceptionnels, comme il le relate à la page 32 de son livre: "j'ai découvert que le champ d'énergie (l'aura) d'une cellule saine change de forme et de couleur sous l'impact de différentes notes, d'après la fréquence et le timbre de l'instrument. Et systématiquement, chaque fois qu'on émettait la note du diapason (la 440 htz), particulièrement avec la voix humaine, on obtenait une couleur rose". La couleur rose symbolisant l'amour et le chakra du coeur, il est simple de savoir les vertus que cela engendre. Il distingua aussi les résultats obtenu à partir d'instruments acoustiques d'un côté et d'instruments synthétiques de l'autre. Un peu plus loin, à la page 33, il explique une chose importante concernant la structure d'un son acoustique en comparaison à un son synthétique: "un son acoustique est vivant. Il fait résonner toutes les harmoniques naturelles , en présence. Pas seulement au niveau physique, mais aussi dans le champ d'énergie subtil autour des cellules. Les sons électroniques, depuis les ondes radios aux guitares électriques, ne génèrent pas d'harmoniques et donc ne contiennent pas d'énergie vitale, capable de nourrir le corps physique et son aura." A une époque où la musique électronique, les voix modifiées par des filtres et la guitare électrique cartonnent, le système immunitaire de l'auditeur s'affaiblit considérablement. Il s'est également rendu compte que les cellules cancéreuses ne dégageaient aucune aura (ou champ électromagnétique) en les observant avec son appareil Kirlian. 

Vibration du m​onocorde et position des planètes